Request: ANY U2 Related Article in French

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Galeongirl

Galeonbroad
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ok I have a question..a really stupid one... but still
I want to place a request for an article about U2 in french(must be three pages) because I can't find one on my own (besides the TIME magazine one, and my teacher rejected that one) because google.fr is too confusing to use because I have no idea what words to use.... maybe one of the french fans can help me out..
where should this be placed? the other languages part? the articles part? the news part?
 
Ingrid,

I split your post from the thread...

So here goes ladies... any U2 articles in French, 3 pages or so.

:D
 
Or there might be something on u2france.com <?> Again, not sure if anything is 3 pages....
 
Okay, I was browsing the above site and there looks like what could be a 3 page article called "La prière américaine de Bono." It's not real current, but it is long!
 
Miroslava said:
:bump:

So GG can see this

:)

oh thank you miro!!
I tried u2france, I got the Time mag article from there.. but my teacher said it had WAY too much gramatical errors and stuff.. but I'll try U2achtung ^^
I really suck in french tho :wink:

oh it has to be from either 2005 or 2006
 
Last edited:
I've found something, it's a review of the November show from a newspaper of Montreal... But I guess that it's not long enough: 563 words :nerd: I'm pasting it anyways, just in case.

Le Devoir
CULTURE, lundi 28 novembre 2005, p. b8

U2 au Centre Bell
Au-delà de la démagogie

Cormier, Sylvain

C'est arrivé à peu près une heure après l'arrivée triomphale de U2, samedi soir au Centre Bell. Qu'est-ce qui est arrivé? Il est arrivé que le résultat a dépassé l'intention. Il est arrivé quelque chose de vrai et de pur dans le grand rituel rock.

Bono, comme il le fait sans doute à chaque spectacle de cette tournée politiquement engagée (avec défilement à l'écran de la Déclaration universelle des droits de l'homme et exhortations du chanteur à l'action militante auprès des gouvernants pour «éradiquer cette stupide chose qu'est la pauvreté»), s'est trouvé dans la foule un symbole. En l'occurrence, un enfant. Un garçonnet, entre 5 et 7 ans. Il l'a fait asseoir sur un petit ampli de retour de son, et il lui a chanté les derniers mots de l'hymne pacifiste Sunday Bloody Sunday: «No more!» Tel qu'espéré par Bono, fort habile dans ces interactions avec le public (auparavant, il se dénichait une jeune femme avec qui danser tendrement), l'enfant répétait: «No more!». Seulement voilà, plus il répétait, plus il répétait fort. Tellement que Bono en était étonné. La foule aussi. À un point tel que ça transcendait la démagogie du moment. Ce n'était plus le symbole un peu télégraphié de la génération-de-demain-pour-laquelle-nous-devons-nous-battre, mais un p'tit gars qui en avait dedans. Pour vrai.

La vérité avait été plus loin que la manipulation de la vérité. Bono irradiait, la foule exultait. Émotion sans cynisme. Comme la dernière fois au même Centre Bell, alors que Bono avait embrassé le ventre d'une femme enceinte. Un moment où Bono, parce qu'il sait se rendre disponible à l'imprévu, parce qu'il donne à l'imprévu l'occasion de survenir, parvient à justifier tout le reste. Le reste? Le show lui-même, toujours intense, toujours satisfaisant, mais prévisible jusque dans son intensité et sa garantie de satisfaction.

De fait, jusqu'à ce moment-là, c'était formidablement bon, mais parfaitement dans l'ordre des choses. Le système d'éclairage, ces rideaux de câbles sertis d'ampoules toutes programmables, avait dûment ébloui. U2 avait servi tel que promis un show réduit à sa plus simple expression rock, les récentes City Of Blinding Lights, Vertigo et Elevation faisant presque autant d'effet que les chevaux de bataille I Will Follow, I Still Haven't Found What I'm Looking For et Beautiful Day. Et Bono avait arpenté comme à l'accoutumée la grande passerelle qui avançait jusqu'au milieu de la patinoire, dans sa posture habituelle, tête levée vers le plafond (comprenez: le ciel) et main droite lui sortant du ventre (comprenez: il y croit). Tout ça valait les 165 $ raqués, tout ça était aussi réussi que peut l'être un show rock, mais tout ça ressemblait quand même à s'y méprendre (et à quelques titres près) au show diffusé à MusiquePlus la semaine précédente. Et à tous les autres shows de la tournée. Sauf quand la brèche s'est ouverte et que la vérité en a jailli.

Et sauf quand les 20 331 spectateurs se sont montrés si délirants du bonheur de retrouver leur U2 chéri que le groupe n'en est pas revenu. Après Bullet The Blue Sky, l'inattendue Miss Sarajevo (avec Bono en Pavarotti), Pride (In The Name Of Love) et Where The Streets Have No Name, l'ovation fut telle que les Irlandais s'envoyèrent de vrais sourires d'hommes heureux (même le guitariste The Edge, d'ordinaire si impassible), et Bono, après s'être exclamé que nous étions une bande de «crazy guys», ne put s'empêcher de déclarer - en français - que U2 viendrait «vivre à Montréal!». En guise de merci, les rappels - Until The End Of The World, Mysterious Ways, With Or Without You, Stuck In A Moment You Can't Get Out Of, Yahweh, le medley surprise Bad-The Maker, 40 - ont duré tout près d'une heure supplémentaire. Chose certaine, U2 vivra à Montréal jusqu'à ce soir, où d'autres milliers de fans leur feront encore la fête.

En première partie, le groupe québécois The Arcade Fire, malgré leur renommée désormais planétaire, n'en revenait pas non plus d'être là. L'expérience semblait «pretty surreal» au chanteur Win Butler, constatant l'écart vertigineux entre leur Montréal d'avant et après le succès. Pour l'occasion, le groupe nous en a mis plein les yeux, plein les oreilles, incroyablement mobiles et dynamiques même s'ils étaient très tassés à sept sur la portion de scène allouée. Dément chassé-croisé d'un instrument à l'autre, guitaristes bondissants, percussionniste fou, ça y allait franco, et les trois quarts d'heure de musique à la fois très brutale et fort somptueuse de l'album Funeral ont passé vite. L'ovation était conséquemment longue. Décidément, une soirée transcendante.

Collaborateur du Devoir

Catégorie : Arts et culture
Sujet(s) uniforme(s) : Musique
Type(s) d'article : Article
Taille : Moyen, 563 mots
 
Maybe you could add this one... same day... same newspaper... 347 words!

Le Devoir
LES ACTUALITÉS, samedi 26 novembre 2005, p. a2

L'aide aux pays du Tiers-Monde
Martin laisse Bono perplexe
«Il en entendra parler pendant les élections»

Stephen Thorne, PC

Ottawa - L'incapacité du premier ministre Paul Martin à aider davantage les pays du Tiers-Monde laisse perplexe le chanteur Bono, surtout à la veille de nouvelles élections dans un pays où bien des citoyens voudraient qu'on augmente l'aide étrangère.

«En fait, cet homme me rend perplexe», a déclaré hier le chanteur du groupe rock U2 lors d'une conférence de presse qui avait pour but de promouvoir son projet «Make Poverty History» afin d'éliminer la pauvreté dans le monde.

«Je l'aime beaucoup sur le plan personnel, a-t-il ajouté. Je pense toutefois qu'il rate une belle occasion. C'est un dossier important aux yeux des Canadiens. Je pense que si le premier ministre laisse passer sa chance, il en entendra parler pendant les élections. J'en suis même absolument certain.»

Bono s'est dit encouragé par des sondages qui indiquent qu'une majorité de Canadiens se déclare en faveur d'une augmentation de l'aide extérieure. Il voudrait que le Canada consacre 0,7 % de son produit intérieur brut à l'aide étrangère. Il faudrait donc que le gouvernement fédéral triple son budget actuel, qui s'élève à trois milliards par année.

Le chanteur irlandais a aussi demandé au Canada d'effacer la dette de pays pauvres et de militer en faveur du commerce équitable dans un monde où un milliard de personnes gagnent moins de 1 $ par jour.

Selon Bono, le Canada pourrait facilement accroître son aide aux pays du Tiers-Monde puisqu'il est le seul pays industrialisé d'importance à présenter un surplus budgétaire à l'heure actuelle.

«J'implore les citoyens du pays, au moment où leurs politiciens sonneront à leur porte, de leur dire que c'est dans ce genre de Canada que leurs enfants veulent grandir, que c'est ce genre de Canada dont le monde a besoin en ce moment.»

Bono, de passage à Ottawa en vue d'un concert de U2, a passé la journée à rencontrer les chefs des différents partis, affirmant qu'il voulait faire appel à la bonté des gens dans un pays qu'il qualifie de meilleur que les autres.

Il a ajouté que c'est à cause des traditions humanitaires et des valeurs morales véhiculées au pays qu'il est un «partisan» du Canada et qu'il y revient aussi souvent pour donner des concerts.

«Les Canadiens sont en avance sur le premier ministre en ce qui concerne la pauvreté dans le monde, a-t-il affirmé. C'est quelque chose qui permet au Canada de se distinguer des autres pays. [...] C'est ce genre de leadership, c'est ce sens de la justice et cette conscience élargie de ce qui se passe ailleurs dans le monde qui permettent au Canada de se distinguer.»

Catégorie : Actualités
Sujet(s) uniforme(s) : Politique extérieure et relations internationales; Économie mondiale
Type(s) d'article : Article
Taille : Moyen, 347 mots

:dancing:
 
Hi!
ooops I guess it's too late...

I have 2 articles from french magazines.

the 1st one is a december 2004 band interview published in rolling stone magazine, it's 2.5 pages long (without counting the pix), quite small print. I think it's the french translation of interview published earlier in the US edition.

The second one is from may 2005 about Michka assayas book, "in conversation with", it's like a summary/extracts from the book. It was published in VSD magazine. Once again it's about 2.5 pages long (without pix).

I can scan one of them if the one you gave to your teacher doesnt work.
If you need any help with translation or whatever u have to do with the article... let me know!! I am french.
Just email me at c_chris_fr@hotmail.com

good luck,

Christelle.
 
thanks all for your help! my teacher just emailed me, the thing I sent her is ok, because it is a bit shorter without the spaces(after every Q and A was one) but it's a bit tougher, so it was completely ok and she wishes me good luck with it :wink:
now I have to make some things for it... have until wednesday, so I think i'll do that uhm this weekend or so
thanks for your help everybody!
 
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